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  • Halez les boeufs !

    hand.jpgPourquoi les "grandes" équipes ont-elles du mal a gagner face aux plus modestes ? La réponse est simple. Lessablesrivegauche a le plaisir de l'offrir généreusement à tous les cadres sportifs du monde entier.

    Allons enfants de l'apathie

    La compétition sportive est un substitut de la guerre. A toutes les époques, ces messieurs ont adoré se foutrent sur la gueule. C'est comme ça ! Acteurs ou supporters, la compétition sportive offre la possibilité à l'homme moderne de : GAGNER ! (là où on n'a pas pu le faire en semaine, au boulot, en famille, en couple...)

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    Et dans la victoire, il n'y a plus de barrières raciales ou sociales. On est tous frères, on est "LES CHAMPIONS ! ". Un ego gonflé un bloc, on rentre à la maison faire des futurs petits guerriers à Marie-Claire si elle veut bien, quelques mois, suspendre son régime salades.

    " L'argent pourri tout" ?

    90d80482-8c98-400d-b6c8-6df85efef4fd.jpgDe tous temps, le butin de la guerre profitait principalement au pouvoir et au clergé (les deux jumeaux de l'humanité). Aujourd'hui le butin de la compétition sportive est démocratiquement partagé entre tous les complices de la maffia sportive. Comble : aux guerriers eux-mêmes ! (les sportifs). Or, comme ce butin est énorme, les primes le sont également... Jusqu'à là, et quoiqu'on en dise par jalousie, c'est normal LIBERAL ! Un nanti (Thierry Henry a gagné 17 millions d'euros l'année dernière pour rester assis sur un banc avec une couverture sur le dos), un nanti disais-je peut-il encore être capable de souffrir pour gagner ? Personnellement je pense que c'est possible. Mais à la seule condition qu'il lui reste encore de la foi.

    Au nom du Père.

    9e2faf369154539a86ee05a5a275be4c.jpgOr, ce qui faisait qu'au moyen âge les gueux se castagnaient entre eux pour les caprices des comtesses locales, des fougueux chevaliers ou des abbés contre-maîtres, ce nétait pas la généreuse poule-au-pot promise aux vainqueurs survivants, c'était la défense et l'honneur de leur identité (leur fief). Et ça, les mercenaires modernes du football ne l'ont plus cette foi. Foi en leur équipe, en leur club, en leur famille de bénévoles aux petits soins pour eux, ... en leur nation !

    Quand on a d'un côté 11 guerriers mexicains, la poitrine gonflée, les yeux tournés vers le ciel, qui braillent fièrement leur hymne national la larme au coin de l'oeil... et de l'autre côté 11 superstars internationales, mâchonnant leur chewing gum, les oreilles collées encore par les écouteurs de leur Ipod laissés à regret sur le bancs de touche... L'ISSUE DU MATCH NE FAIT AUCUN DOUTE !

    La preuve.

    Faîtes du sport, pas la guerre !

    Bon, moi ce que je vous en dit... Personnellement je ne crois pas qu'il soit nécessaire de gagner pour être heureux. Alors, la compétition...

    Néanmoins, si le sport est le substitut de la guerre, je préfère encore monter dans les gradins d'un stade, que de descendre dans les tranchées d'un champ de bataille !

    Mais faîtes attention à ce que vous dîtes : les enfants écoutent et eux, ils ont encore besoin de croire.

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    Pour nous c'est trop tard. Mais dans moins de 100 ans, l'humanité sera ENTIEREMENT renouvelée. Faisons en sorte qu'il y ait un peu plus de respect d'amour dans tout cela. Apprenons l'amour LE RESPECT à nos enfants.